Sur les pas de Brancusi
Quelques mots et photos à propos de ce grand artiste roumain dont l’œuvre est entrée en résonance dans le roman à travers sa magnifique couverture réalisée par Fabienne Bourgeade et le récit de la construction de l’ensemble architectural à Târgu Jiu mêlé à l’histoire fictionnelle de l’héroïne du roman.
Les trois sculptures monumentales de Târgu Jiu
La porte du baiser
La table du silence
La colonne sans fin
Quand Le doux murmure des Carpates revient à sa terre d’origine. Merci à Clara rencontrée au salon de Beaucaire pour le présent de ses photos.
Autres réalisations
Mademoiselle Pogany 1913
Museum of Modern Art New York
L’œuvre du sculpteur est prolifique. La réalisation des colonnes est un marqueur fort de son identité qui trouve un point d’orgue à Târgu Jiu, ville située à vingt kilomètres de son village de naissance, Hobița.
A Paris où il a passé une grande partie de sa vie, se trouve la reconstitution exacte de son atelier au centre Pompidou (legs fait auprès de l’Etat français) et la statue Le baiser implantée sur la tombe deTatiana Rachewskaia au cimetière du Montparnasse (où il est par ailleurs enterré). D’autres collections privées ou publiques majeures accueillent ses œuvres (dont le MoMA, Guggenheim, musée national d’art de Roumanie …)
Atelier Brancusi
Centre Pompidou
Paris
La partie du roman consacrée à Brancusi a été documentée entre autres par les ouvrages de Doïna Lemny, spécialiste du sculpteur.